Chroniques Socioéconomiques de la République Démocratique du Congo

Les Katangais les font. Les Luba, les Kongos, Les Sud kivutiens, Les équatoriens, Tshopolais. Tous, ont pour coutume de former un *BLOC UNI* (Pas confondre avec BUREC), lorsque l'un de leur brigue un poste de responsabilité au niveau National. Aujourd'hui, c'est le tours du Nord-Kivu. L'honorable AYOBANGIRA, s'offre le défis de déposer sa candidature au Poste de Questeur Adjoint à l'assemblée Nationale. En réalité, ce défis ne lui appartient pas seul, c'est tout le Nord-Kivu qui devrait se positionner à ses côtés. Je dis tout le Nord-Kivu, formant une coalition provinciale au delà des divers appartenance politique ou ethnique (HUNDE, NYANGA, HUTU, NANDE, KUMU, TUTSI). C'est en livrant ces genres batailles communes et inter-ethniques que la province du Nord-Kivu obtiendra la paix. La candidature de L'honorable AYOBANGIRA, n'est donc pas une simple candidature: mais c'est surtout une opportunité de dialogue inter communautaire au Nord-Kivu, une...

La destruction méchante de la voies publique est désormais un sport à la mode dans la ville de Goma. La jeunesse cultive, progressivement, un sentiment de rébellion, de mutinerie et d'insurection contre l'ordre établi. Une mentalité villageoise rendu populaire au Nord-Kivu grâce à une milice en gestation opérant sous la dénomination de la LUCHA, un mouvement citoyen réputé très efficace lorsqu'il s'agit de semer le chaos afin de mieux marchander la souffrance de la population auprès de leurs parrains impérialistes.  Semblable à une milice urbaine, La LUCHA emploie des moyens colossaux ( provenant de leur parrains occidentaux ) pour endoctriner la jeunesses congolaise, leur encourageant à la mutinerie, la désobéissance civile, sabotage des bien publique, symbole et emblèmes de l'état congolais. Le  20 janvier 2021, Prétextant manifester pour la reprises des études en RDC, la LUCHA s'est employé, au vue de tout la population de Goma, à la DESTRUCTIONS MÉCHANTE DE ...

  Il devient difficile, de nos jours, de cacher la vérité des urnes en RDC. Telle le soleil, la vérité de urnes se lève de lui-même et chasse les ténèbres et ses influences en Congo. La lumière luit dans les ténèbres, mais les ténèbres ont refusés d'y croire. Il eu un homme envoyé de Dieu. Son nom était Martin FAYULU. A l'époque, ils confondaient vérité des urnes et Martin FAYULU. Pourtant, le soldat du peuple n'en été que le prophète et le messager. Il était venu pour rendre témoignage de la lumière afin que tous crussent par lui.  Le soldat du peuple parla des vérités des urnes et de la réforme institutionnelle. Mais personne voulue y croire, au risque de perturber le confort éphémère dont ils jouissaient grâce aux accords ténébreux et deals politiques extrêmement nocifs conclu dans les ténèbres pour apprivoiser le peuple congolais durant le règne des ténèbres.  Aujourd'hui, le soleil se lève en RDC et chasse les ténèbres entretenues par l'accord ténébreux FCC-CAC...

Désormais, la notabilité HUTU et NANDE descent dans l'arène de combat s'invitant, contre tout attente, dans le conflits éthiques qui opposent, voilà quelques decenies déjà, les communautés HUTU et NANDE pourtant voisines et sœurs de sang, qui t'a porter le débat sur le plan sociologique et mystique. Selon Eugène SERUFULI, leader incontestable et respectable de la communauté HUTU, la jeunesse NANDE cultive, à tord, un complexe de supériorité s'estimant supérieur à toutes les autres communautés du Nord-Kivu et croyant que le fait d'avoir un gouverneur NANDE à la tête de la province du Nord-Kivu leur donnait le droit de déféquer aisément sur toutes les autres communautés. Le notable SERUFULI accuse, particulièrement, CARLY BÉTON d'être responsable de la détérioration irréversible du climat ethniques entre les HUTU et les NANDE. Une responsabilité située au niveau de sa passivité et manque d'initiative dans la recherche des solution passifique dans le territoire...

Parmi les 1455 détenues évadés dans la nuit du 20 octobre 2020, on compte des Egorgeurs, Rebelles des obédiences divers, kidnappeurs, coupeurs de routes, criminelles, miliciens, et bien sûr les redoutables ADF.  Un cocktail mixte des malfaiteurs rependu dans la nature et dans la brousse avec pour vocation particulière d'imposer la terreurs dans la Province Nord-Kivu. Ceci devrait interpeller l'état congolais au plus au point. Il faut immédiatement renouveler le commandement militaire et de la police au Nord-Kivu, car cette évasion de 90% des prisonniers (Une première dans l'histoire de l'humanité) est, sans doute, un coup qui a bénéficié de la complicité des autorités provinciales du Nord-Kivu, protectrices de ces bandits évadés. Fabien Olondo  

Présentie candidate incontestable du FCC aux prochaines scrutins présidentielles de 2023, la popularité de l'ex première dame de la République fait désormais l'unanimité au sein de l'opinion national de part sa double casquettes à la fois sociale et humanitaire. Même silencieuse, ses activités humanitaires s'expriment à sa place, avec eloquance et bienveillance.  Elle est, à ce jour, la seule personnalité du clan KABILA à jouir d'une belle réputation meilleure que celle dont jouissait Moise KATUMBI. Une réputation incontestable et sans tache qui s'étant désormais sur tout le territoire de la RDC, voir au delà des frontières nationales. Madame Olive LEMBE est imbattable dans le domaine humanitaire et social, son domaine favori, choisi, certainement pour combler les déficits et erreurs de son son époux, Joseph KABILA, ancien Président de la République, jugé catastrophique et lamentable sur le plan social. Marie Olive LEMBE est certes, très populaire. Mais, nous av...

Reconnaître les faiblesses et les limites des FARDC faces aux milices ethniques qui créent la terreur dans les provinces de Kivu et Ituri constitue déjà un début de solution à l’insécurité qui menace la RDC. Mais faut-t-il pour autant s’appuyer désespérément sur les ressources de la MONUSCO pour combler ces faiblesses et limite des FARDC ? Cet appel de détresse lancé imprudemment par l’état congolais à la MONUSCO prouve, a suffisance, que FATSHI-BETON ignore malheureusement les causes de l'insécurité à l'est de la RDC. Comment peut-on prétendre résoudre les problèmes de son peuple lorsqu’on ignore de quoi souffre ce peuple ?  Il parait évident que le président KABILA avait, trop tard, compris les enjeux de l'insécurité des KIVU et ITURI avant de solliciter un départ planifié de la MONUSCO. Sans minimiser la contribution de la MONUSCO dans le processus de paix en RDC, il est temps que l’état congolais se montre suffisamment mature dans le choix des solutions de paix à envis...