FAMINE EN RDC: LES CONFLITS ARMÉS NE SONT PAS LES CAUSES, MAIS PLUTÔT DES CONSÉQUENCES DE LA FAMINE.
Connaître les causes de la crise alimentaire en RD Congo pour envisager des solutions définitives
Le peuple Congolais mérite du respect. Treize millions correspond à la population totale du Togo, Gabon et Congo-Brazza, réunies ensemble. En RDC, les 13 millions des congolais souffrant de la famine sont concentrés dans les Provinces de Sankuru, Lomami, Tanganyika Kasaï orientale et central, Le fief du président Felix Tshisekedi. Comment se fait t-il que des pays désertiques, pourtant secoués par conflits armés, sont épargnés par la faminepar rapport à la RDC, un pays très riche en sol, Territoire et climat.
LES CAUSES DE LA FAMINE .
Si les conflits armés étaient les causes de la famine, les récoltes issues des ex-provinces tranquilles et en paix telle que Bas-Congo, Équateur, Provinces orientale auraient immédiatement étouffées cette famine en alimentant, en denrées alimentaires et agricoles, les populations victimes de cette famines.
La crise alimentaires en RDC date de l'entrée de AFDL, de la Kabilie. Cette guerre impérialiste a entraînée le déplacement des populations rurales, confiscation des fermes et plantations agricoles entraînant une perturbations des cycles et habitudes agricoles.
Mais cela ne justifie pas nécessairement la famine qui frappe la RDC en 2019, car la famille Kabila a suffisamment regné 17 ans au pouvoir pour améliorer cette situation. Au 21 ème siècle, le peuple congolais est frappé par la famine, une honte planétaire et une culpabilité devant la providence qui a dotée ce pays des ressources inimaginables. La famine en RDC est causée par trois éléments :
1. Ressources Budgétaire affectées à 80% vers le la présidence et le fonctionnement du gouvernement et parlement: On ne récolte que ce qu'on a semé, pas plus. L'état Congolais a donc lui-même créé cette famine dont souffre le peuple. L'état Congolais est gourmand, voleur et Bandit. Comment peut-on se permettre de dépenser plus de 10 millions de dollars non budgétisés pour des obsèques pendant que le peuple meurt de faim. Est ce un manque de respect et de considération envers tout un peuple ?
2. Les villages et collectivités rurales intentionnellement oubliées : Aujourd'hui en RDC, vivre au village et en milieu rurale c'est synonyme de vivre dans la pauvreté, même si c'est l'inverse qui est vrai. Les infrastructures de base (École, Hôpitaux et Routes) n'existent pas, exceptés ceux installés par initiative privés. Du coup, le Banditisme et la rébellion se révèle être une activité plus prometteur pour les jeunes villageois que l'agriculture et l'entrepreneuriat.
SOLUTIONS À LA CRISE ALIMENTAIRE
Aujourd'hui, tous les pays du monde, excepté la RD Congo, ce sont impliqués dans des politique agricole participative (les vilageaois sont subventionnés et les provinces responsabilités). La mane ne tombera plus du ciel, les opérateurs Agricoles et le PAM sont incapable de résoudre la crise alimentaires.
1. L'ÉTAT doit Installer ses propres plantations et fermes agricoles dans chaque province de la RDC: C'est possible. Cela contribuera à l'autonomie alimentaire de chaque province. Les opérateurs agricoles appliquent des marges exorbitant sur les denrées alors que l'état a la possibilité d'appliquer une tarification humanitaire étant guidé par l'intérêt général de la population. _Ces plantations provinciales permettront également d'étouffer les conflits armés car toute la jeunesse rurale sera occupée aux travaux agricole._
2. L'ÉTAT doit construire des infrastructures de base (École, routes Hôpitaux, Banque) dans le milieu ruraux: Développer la RDC c'est développer ses villages et collectivités.
Pour réussir ce pari, Le régime Tshisekedi doit se désolidariser de la Kabilie, elle est responsables de cette famine du peuple. Pactiser avec la Kabilie pour accéder au pouvoir en RDC. Aujourd'hui, le Banditisme de la Kabilie n'est plus à démontrer : La famine du peuple Congolais après 17 ans de la présidence de Joseph KABILA est une illustration. Le bilan de la Kabilie se résume par cette famine. Aussi, les dépenses folles du régime Tshisekedi (10 millions pour des obsèques) ne présage rien de constructif
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